Chance

21 mai 2005

Eh je soufrais de bonheur.
Je subissais la vie et toutes ses merveilles.
Pas plus tard qu'à l'âge de 3 ans, en ai-je déduit, on a dut m'exoliquer que quelqun veillait sur moi là-haut, cependant, il n'avait pas l'air de me faire confience puisqu'il ne me laissait jamais faire mes propres erreures.
Je ne me trompais jamais. Ma vie était un rêve mais je vivais un cauchemard.
Tout était parfait autour de moi, je n'avais pas à me pleindre, on ne me le permettait pas d'ailleur.

Vers 10 ans je soufrais du bonheur mais je le subissaissilencieusement.
Je provoquais le malheurs mais seuls mes enemis en soufraient.J'était heureuse.
Vers 14 ans, je me rebellais gentiment, semais le mal autour de moi. Aucuns remorts ne me rongeaient même quand il s'agissait de personnes que j'aimais : j'étais contente pour eux puisqu'il avaient la chance d'être un peu malheureux.
A 20 ans je dansais sur les tombes. Je crachais dessus à 25 ans.
A 30 ans Je brulais les eglises. J'étais heureuse, je ne culpabilisais pas.
J'enviais les gens malheureux. J'aurais donner n'importe quoi pour vivre leur vie horrible.
Mon rêve le plus fort était que mes cauchemard deviennent réalité.
Eh puis j'ai rencontré un homme. Il parraissait que l'amour faisait plus de mal que de bien mais le fait de partager mon bonheur me fit fuir.
J'avais décidé que comme j'étais née seule avec ce cadeau empoisonné du ciel ou de je ne sais qui, eh bien je perrirais seule avec.

Ma vie si heureuse mais loin d'être idéal, me faisait soufrir.
Mon médecin m'avait prévu centenaire, enviant un si long avenir.
Malheureusement, c'était pire que ça. J'ai du trimballer mon sal bonheur jusqu'à l'âge de 110 ans où je pouvais encore faire mes cources seule.